Tagged with Askopot

L’Askopot heurte Kokomo

L’Askopot heurte Kokomo

De l’altitude, je n’aperçois rien, à peine je parviens à ressentir le ressac des turpitudes passées, ces délicates mélancoliques qui, mêlées aux sinuosités des vicissitudes de mon errance mélodique, me pardonnent mes tracas. L’Askopot a beau avoir de l’attitude, l’ennui nous gagne, les chemins stellaires s’appauvrissent à cause de trop de similitudes. Je répète les … Continue reading

La culbute de l’Askopot sur Afrikaans

La culbute de l’Askopot sur Afrikaans

Qu’il est bon de se dégourdir les carburateurs à mille lieues des parasites de la controverse égotique. Nous sommes perdus au milieu des étoiles filantes, on passe le temps avec des vieux tubes perdus dans le continuum temporel, un air de 4 Non Blondes, un morceau d’éphémère ingéré pour faire culture, pour raccrocher mes souvenirs, … Continue reading

L’Askopot sur Ochaya

L’Askopot sur Ochaya

Je ne sais pas si les femmes viennent de Vénus mais à l’image de la divinité, elles ont quelque chose de céleste, une pensée faite certitude quand on arrive sur Ochaya, planète du système Oestrogène. Mon Askopot a répondu à l’appel d’une maïko à la pureté diaphane, de celle dont on croit percer le mystère … Continue reading

L’Askopot tombe en Synthpop !

L’Askopot tombe en Synthpop !

L’Askopot aborde des confins astraux comme tant d’autres – ça fait déjà bien assez loin -, mais déboutées de leur état contemplatif habituel, sa vieille carlingue et ma carcasse usée convergent vers deux jumelles conoïdes, Indietronica et Electroclash. Et par une coïncidence pas forcément fortuite, leur satellite Synthpop vient nous consoler. Il y a beaucoup … Continue reading

Askopot, le bolide musical sur French Snop-Snob

Askopot, le bolide musical sur French Snop-Snob

“Et, d’heure en heure aussi, vous vous engloutirez, Ô tourbillonnements d’étoiles éperdues, Dans l’incommensurable effroi des étendues, Dans les gouffres muets et noirs des cieux sacrés ! Et ce sera la Nuit aveugle, la grande Ombre Informe, dans son vide et sa stérilité, L’abîme pacifique où gît la vanité De ce qui fut le temps … Continue reading